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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 20:07

 

relax.jpgRelax est le titre surprenant d’Holly Johnson, le leader charismatique de Frankies go to Hollywood (référence à Franck Sinatra). En 1983, le titre Relax est très explicite et le clip encore davantage quand le jeune Holly va s’encanailler dans un club très gay au milieu de drag-queen et de moustachus en blouson cuir surveillés par un obèse en toge. On retrouve le même Holly Johnson sur scène, une émission de télé ou un concert. Il est gouailleur, provoquant, casquette sur la tête, il joue avec une fille blonde en porte-jarretelle qui se promène sur scène tandis que l’autre membre du groupe à petite moustache se déhanche avec le micro. Bon, on a compris Relax don’t do it when you want to come (jouir)… parle de sexe. Plus loin, il y a un clair “suck” pour ceux qui en doutait. Relax rend fou, au point qu'on trouve même une vidéo où Mourousi fait du pied au groupe lors d'une interview courte mais cocasse. Un autre clip corrosif Two tribes met en scène un combat entre le sosie de Reagan et un homme politique soviétique Tchernenko. Et dans tous ces titres décalés, il y a le sublime Power of love. Quelques années plus tard, plus vieux, plus enrobé du visage, Holly Johnson-qui apprendra être séropositif en 1991- l’interprète sur le plateau du Later de Jolls Holland , c’est magique. Plus jeune en peignoir de boxeur avec des gants blancs, on le voyait plus arrogeant au faîte de sa gloire avec ce même bijou qui est devenu un classique.

 


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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 16:42

big-in-japan.JPGBig in Japan, mais qui est gros au Japon ? Pas des sumos , Pas une ode au régime, non, mais la chanson du groupe de New Wave allemand, Alphaville. En 1984, on aimait ce morceau, trente ans après, on se demande ce que tout cela signifie. Etre big in Japan serait être puissant, célébre, réussir au Japon; rêver de réussite. Car l'histoire qui se joue dans cette chanson est celles de junkies à Zoo station, station interlope de Berlin où on cherche son héroine et où on se prostitue. Il y a du cristal, de la poudre et des gens qui attendent le client à cette station. Un couple qui rêve d'une autre vie, être célébre au Japon, loin de tout ça. Reste une chanson sympa avec un leader Marian Gold (père aujourd'hui de sept enfants de son vrai nom Hartwig Schierbaum) au visage carnassier dans un clip où se promène des drapeaux genre soviet suprême, une européenne avec une coiffure à la japonaise et une fille en décolletée qui attend.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 14:25

Domino)Je me souviens des Pet Shop Boy. It's au Sin mais surtout les airs latino de "Domino Dancing". Un peu une Isla Bonita synthé qui respire le soleil et les tentations des amours qui se font et se défont. La version longue du clip démarre dans le cimetière de Santa Maria Magdalena du pazzis à Puerto Rico. Le fil conducteur est la fille brune, Donna Bottman de son vrai nom. La grande croix se balance sur sa robe légère, au début noire puis blanche quand elle se promène à vélo dans les rues du Old San Juan.

En 1988, le clip a été tourné avec des acteurs portoricains castés par les Pet Shop Boy, Chris Lowe et Neil Tennant. Le regard azur du leader du groupe un peu gay apparaît à travers le clip. Le second en casquette a carreaux très eighties apparait dans la boîte de nuit où la belle danse avec plusieurs jeunes dragueurs. Mais pour l'un des deux héros du clip -on ne sait plus qui est qui tant les deux, sosies de Ricky Martins se ressemblent comme deux gouttes d'eau- la danse sensuelle de la belle dans sa robe de sky noire moulante  qui enmaillote sa chair dans des bretelles est agaçante. Le jaloux vient chasser les dragueurs mais fait fuit la belle Donna.

On voit tour à tour le couple dans un palais vide, au pied de cascades où l'eau les inonde, puis dans les rues où la belle est fuyante pied à terre avec sa bicyclette. Mais un autre jaloux fait irruption, le sosie du jeune amoureux. Il le décoiffe de son casque d'ouvrier ! Le deux mecs, David Boira (sic) et Adalberto Martinez termine torse nu dans une lutte au bord de la plage, plus amoureuse que mâle. La belle aux épaules nues a les cheveux attachées au milieu de la police monté à cheval. Les deux gars ne sont plus que des ombres kitch sur la plage dans ce trio amoureux. Un clip "homo érotic" dit le magazine Rolling stone, alors que les ados des années 80 ont surtout flashé pour Donna. Aujourd'hui, la portoricaine est cadre au hilton de Porto Rico. Les scènes interpellent mais le son latino de la guitare qui prend le dessus sur le synthé reste dans nos souvenirs.

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17 mars 2015 2 17 /03 /mars /2015 14:01

Je me souviens des Pet Shop Boy. It's au Sin mais surtout les airs latino de "Domino Dancing". Un peu une Isla Bonita synthé qui respire le soleil et les tentations des amours qui se font et se défont. La version longue du clip démarre dans le cimetière de Santa Maria Magdalena du pazzis à Puerto Rico. Le fil conducteur est la fille brune, Donna Bottman de son vrai nom. La grande croix se balance sur sa robe légère, au début noire puis blanche quand elle se promène à vélo dans les rues du Old San Juan. En 1988, le clip a été tourné avec des acteurs portoricains castés par les Pet Shop Boy, Chris Lowe et Neil Tennant. Le regard azur du leader du groupe un peu gay apparaît à travers le clip. Le second en casquette a carreaux très eighties apparait dans la boîte de nuit où la belle danse avec plusieurs jeunes dragueurs. Mais pour l'un des deux héros du clip -on ne sait plus qui est qui tant les deux, sosies de Ricky Martins se ressemblent comme deux gouttes d'eau- la danse sensuelle de la belle dans sa robe de sky noire moulante  qui enmaillote sa chair dans des bretelles est agaçante. Le jaloux vient chasser les dragueurs mais fait fuit la belle Donna. On voit tour à tour le couple dans un palais vide, au pied de cascades où l'eau les inonde, puis dans les rues où la belle est fuyante pied à terre avec sa bicyclette. Mais un autre jaloux fait irruption, le sosie du jeune amoureux. Il le décoiffe de son casque d'ouvrier ! Le deux mecs, David Boira (sic) et Adalberto Martinez termine torse nu dans une lutte au bord de la plage, plus amoureuse que mâle. La belle aux épaules nues a les cheveux attachées au milieu de la police monté à cheval. Les deux gars ne sont plus que des ombres kitch sur la plage dans ce trio amoureux. Un clip "homo érotic" dit le magazine Rolling stone, alors que les ados des années 80 ont surtout flashé pour Donna. Aujourd'hui, la portoricaine est cadre au hilton de Porto Rico. Les scènes interpellent mais le son latino de la guitare qui prend le dessus sur le synthé reste dans nos souvenirs.

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14 janvier 2015 3 14 /01 /janvier /2015 14:20

 

Je me souviendrai de Cabu à Rcéré A 2 d'abord. On apprenait en quelques lettres à dessiner des hommes politiques, Giscard ou Mitterand. Un 3 puis et 4 dessinaient le profil des homes politiques. L'éveil au dessin et à la politique en quelque sorte. Puis dans le Canard enchaîné, le beauf, le pape, le leader du FN et les autres caricaturés. "Le plus populaire des dessinateurs était le moins intimidant des hommes. Il vous mettait instantanément à l'aise", écrit le Canard ce mercredi 14 janvier, une semaine après.

 

http://www.dailymotion.com/video/x1biy1_cabu-peyo-recre-a2-matin_creation

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3 août 2014 7 03 /08 /août /2014 16:45

 


 

 

 

Je me souviens de la mélodie de cette chanson du début des années 80. Une sorte de cri d'amour par delà l'espace et le temps. Le nom du groupe "Rah Band !!", ni le titre "Clouds across the moon" ne sont là pour nous aider à nous souvenir de la chanson. Le clip kitchissime n'aide pas non plus. Il peut faire fuir. Une sorte d'avatar de Michael Jackson déguisé en robot désarticulé joue le rôle du "space opérator". Il met en communication les femmes esseulées sur terre avec leurs maris en mission, même en guerre sur Mars. Tour à tour, la femme puis le mari peuvent se parler, chacun son tour, sans être sûr que là bas, ils soient vraiment entendus. Leur téléphone ressemble à ces écouteurs fabriqués à partir d'une boîte d'oeufs. La femme ressemble à Cher avec des cheveux blancs artificiels. Le mari, Mr Johnson porte une casquette. C'est le compositeur, Richard Anthony Hewsson, (d'où les improbables intitiales du groupe). il fut arrangeur dit-on du titre des Beatles pour le titre  "The long et winding road". "Hi darling, Are you sleeping ? What the weather ?", chante sa femme dans le vide sidérale ne sachant pas si son mari l'écoute là-bas sur Mars. La mélodie est magnifique même si les images se répètent. Le mari au milieu des canalisations du vaisseau kitch se promène, écoute. Autour de ligne deux blacks aux cheveux genre guirlande dansent. Elles portent des soutien-gorge pointus comme Madonna (en plus kitch et cheap) en aluminium. Que font-elles là ? Mystère, prostituées de l'espace ? Mais le vaisseau qui atterrit semble avoir des difficultés. Des météorites  ? C'est ce que dit le space opérator, Jacksopn déguisé en robot un peu agaçant et sans humanité. Il justifie ainsi la coupure de la communication "I am sorry". Juste ça pour dire à madame que c'est fini. "I try again next year", dit-elle désolée, acceptant son sort. Elle n'entendra pas la voix de son mari, ne saura jamais s'il l'a entendue et devra attendre un an la prochaine mise "en connexion" via le space opérator. De cette mélodie, une chanteuse a fait une version très jazzy, à entendre, en attendant la prochaine communication entre la terre et Mars. A la fin du clip, la sosie de Cher doit se contenter d'une figurine de cosmonaute, qu'elle carresse, en espérant ré-entendre son époux loin d'elle, au-delà des nuages et de la lune...
 

 

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12 juillet 2014 6 12 /07 /juillet /2014 20:45

    Je me souviendrai que les coupes du monde de fomaradonacartonotball étaient rythmées par les exploits et folies de Maradona. Maradona et la remontée de terrain contre l'Angleterre, après la guerre des Malouines. ici naquit la main de Dieu et l'un des plus beaux buts de la planète. C'est 1986 et la coupe du monde brandie par le pipe d'el Oro. C'est aussi 1990 et le duo avec le chevelu blond Claudio Cannigia. La passe extrême et magique face au Brésil.  L'Argentine est là et l'Histoire aussi quand elle gagne la coupe du monde en 1978 en plein dictature. J'avais oublié que L'Argentine de Maradona s'était inclinée face au Brésil de Zico en 1982. Et Maradona fut expulsé après un mauvais coup de crampons. Maradona, c'est aussi Boca juniors, le club où il débute et là où il termine. La coupe du monde, c'était son envie de gagner, ses petits coups de vice, ses folies géniales et ses pleurs d'enfant quand il ne l'obtient pas en 1990 face à l'Allemagne.

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20 avril 2014 7 20 /04 /avril /2014 00:29

tarzan.jpg

Je me souviens de cette scène où les pygmées s'amusent avec des sortes de lassos fins pour attrapper un à un les aventuriers, leurs boys et Jane. Leur souhait, les entraîner dans une fosse où un gorille géant veut les mettre en miettes. D'abord les pauvres boys sont tués puis le chef Rialla qui menait l'expédition. Le père de Jane et son second viennent en aide à Jane mais sont repoussés par le gorille. Seul Tarzan parvient à le tuer. Le seigneur de la jungle est furieux car le gorille a secoué Cheeta sa geunon et la réduite à l'état de paillasson.Tarzan vient à bout de l'horrible gorille en lui plantant d'abord son couteau dans un oeil puis en lui poignardant le visage et la gorge. Les pygmés déçus se mettent à couvrir de flèches le gorille mort. Longtemps, dans mes souvenirs d'enfant, le gorille était un vrai mais en le revoyant, je me rends compte que c'était un acteur déguisé. Il y asvait toute une série de Gorille man à l'époque chargés de faire peur aux enfants dans leur habit de grand singe toujours cruel avec les hommes mais tendre avec les femmes.

 

 

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 21:29

Je me souviendrai du quartre-quarts. Cette longue barre un peu fade, sec au goût qu'achetaient les familles nombreuses. Une solution pas chère et rapide pour le goûter de la fratrie. Je les ai retrouvés dans les supermarchés, même look, même goût. Mais moi je préfère les figolu et les beaux chamonix bombés et dorés, orange comme toutes les choses dans les années 80. On recherchait les miettes collés au papier alu avec les doigts, les dents et la langue. Super sucrés, écoeurant mais si nostalgiques Chamonix !

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 19:10

 

sylvidres-b.jpg

Je me souviendrai de ces femmes plantes qui partaient en fumée dans un cri fantomatique, les sylvidres d'Albator. Elles veulent envahir la terre où disent-elles, elles étaient là avant les hommes. Une des dernières traces de leur présence se situe dans le triangle des Bermudes. Sous l'océan, Albator découvrira une sylvidre nue dans sa chevelure verte endormie ou conservée comme une relique.

Lorsqu'elles arrivent sur terre, on ne voit qu'une sphère noire où l'on peut lire das lettres aztèques ? Du moins des signes similaires à ceux des terres mayas, où dit-on les extraterrestres sont venus à la création du monde.

Dans leur draps fantomatiques noirs, elle cachent toujours un pistolet lazer pour abattre les hommes dans la pénombre.

De ces êtres, Albator dit tour à tour qu'eles sont belles comme un rêve, belles comme les roses, et comme les roses, il faut se méfier de leur beauté car elles sont redoutables. Plus tard, il dira qu'elles sont les sirènes de l'espace, attirant les marins pour les perdre. Une imagerie entre la mythologie grecque, les contes des forêts et la zone 51.

Comme dans les Envahisseurs, elles se cachent partout, sont les femmes de tout le monde, mais démasquées, elle sont tuées et disparaissent en fumée.

Les sylvidres ne sont pas seulement des plantes, mais elles savent hypnotiser les hommes, les convaincre de les libérer en se cachant sous les traits d'une mère; de mettre en confiance, sous les traits d'un enfant.

Derrière les sylvidres, il y a la reine Sylvidra qui entretient un rapport ambigü avec Alabtor. Elle dit le connaître "comme si elle l'avait fait", puis accepte de l'affronter en duel. "Le vainqueur aura la Terre". Albator la bat, bien-sûr, en la dénudant; mais la reine ne part pas en fumée, elle saigne et accepte de ne plus envahir la Terre.

 
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