Je me souviendrai du petit-fils de Chirac. Il apparaît lors de la dernière visite de Chirac aux armées. "Ne vous désarmez pas" a dit en substance Chirac. Son petit-fils a l'air plus grand que son âge.

Je me souviendrai de Gérard Schivardi, la candidat "des maires" et du parti des travailleurs ! Il est maçon et fana de rugby, de bonnes bouffes et de banquet campagnard. Ancien socialiste, il est soutenu par l'extrême gauche. il est contre toutes les intercommunalités, contre l'Europe etc... Il a été attaqué par l'association des maires de France pour son slogan. Il a perdu. Il en sera plus candidats "des maires" mais "de maires". Son porte-parole dit : " en bien qui se disent candidate "des travailleurs" mais ne sont pas attaqués pour autant".

Je me souviendrai du candidat des chasseurs et de son bouc. L'autre petit, C'est Frédéric Nihous, le Djeune sous la houlette de "Jean Saint Jost", l'éternel représentant de pêche, nature et tradition. Il est le candidat des "campagnes", pour le retour des services publics en campagne, de la police en campagne, de La Poste etc ...

Je me souviendrai qu'Arlette Larguiller voyage en première classe. Et lorsqu'on lui demande pourquoi, elle devient méchante.

Je me souviendrai que Sarko pense voir le score de Le Pen exploser. "Bayrou tourne en rond. Le Pen va faire plus que les sondages". Alors, il mise sur une campagne toute à droite.

Je me souviendrai de la gare du Nord venue au centre de la campagne. Tout a démarré par le contrôle d'un certain Angelo. ça se passe mal avec le contrôleur. Il frôle le front du contrôleur et est mis à terre. "Petit et bodylbuldé", c'est aini qu'Angelo est décrit dans le Parisien. Des renforts de police sont appelés. Des voyageurs crient à l'interpellation violente, au racisme et tout dégénére sous l'oeil des portables de chacun. Dégradations en tous genres, accueils de la RATP brûlés et postes utilisés comme projectiles créent la situation anarchique. Et lorsque les caméras de TV débarquent, tout ce beau monde s'excite. C'est Sarko qui est insulté. C'est la lutte entre "police" et "jeune's". Chacun se caricaturent sous l'oeil des caméras et des portables. Certains parlent de "rebellion". L'avocat d'Angelo multirécidivistes (beaucoup de vols à son actif)accuse les agents de la RATP mais pas la police. "Il était en passe de s'en sortir pris en charge par l'asso de l'Abbé Pierre", raconte son avocat. "Voilà, ça se produit quand Sarko est parti" dit un brin méfiante une étudiante du RER à la gare du Nord. Le nouveau ministre de l'Intérieur, Barouin vient serre des mains le lendemain mais c'est Sarko qui est le premier à répliquer et défendre les flics. Ce même jour, Sarko -pour marquer son terrain ?- passe par la gare du Nord ... afin de prendre le train pour Lille. Dans la gare du Nord, certains crient à "la provoc". Mais on aiùmerait une telle "rebellion" lorsqu'un homme se fait agresser ou une femme violer. Le plus souvent c'est l'indifférence qui prime dans ces cas.